Djeli Moussa Condé

Djeli Moussa Condé

Songs

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  • country:Guinea
  • style(s):Afro
  • label:Buda Musique
  • type:Band
  • gender:male
  • instrumentation:vocal, singer songwriter, rock band, guitar
  • artist posted by:ATEA Production

Line up

  • Danny Avelino Marta (guitar )
  • Djeli Moussa Condé (kora, guitar, singer)
  • Jouni Isoherranen (bass, voice)
  • Renaud Tenoux (Malinké flute / transverse flute)
  • Vincent Lassalle (percussions, sample, voice)

Links

After working with Manu Dibango, Salif Keïta, Richard Bona, Mory Kante, Alpha Blondy, Cesaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane Seck, and his duet album with Janice DeRosa, Djeli launches his first solo album ! An urban griot (African Storyteller) with a rock edge, Djeli Moussa Conde sings about peace and his hope for mankind through revolutionary lyrics.

Born in Guinea Conakry, from a griots' family, Djeli Moussa Conde learns from a young age the art of singing and playing the kora. During four years, Master Lamine Sissoko teaches him the kora and his country's musical culture. Djeli shows some great talent and is awarded the diploma of participation by Unesco at the first Kora festival of West Africa in Conakry. He already shows some early signs of being a great composer. He then decides to hit the road, following his own adventure and personal journey during several years throughout West Africa.

Whilst staying in Abidjan he is spotted by Souleyman Koly and becomes composer-songwriter for the Abidjan Koteba (Souleyman Koly) ensemble with whom he goes on prestigious international tours between 1989 and 1993. At the same time he composes four pieces for Waramba, the first Manding opera which received an award at the Avignon Festival in 1993.

Djeli then settles in Paris in 1993. He is helped by Bernadette Laffont and the charity " Musiciens Sans Frontieres" (Musicians Without Boundaries) to gain the right to stay in France. Djeli then starts working with musicians such as Manu Dibango (Wakafrica), Salif Keita, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tidiane Seck (Sarala), Sekouba Bambino (Le destin, Sinikan...), Mangala (Réexpedition), Amy Koïta...

He contributes with his kora and his powerful voice on their albums and follows these artists on their French and International tours. As an activist, he takes part in many charity gigs in cause of French and international humanitarian activities (French Secours Populaire, UNESCO, Musiciens Sans Frontieres, etc.)

In 1998, he is asked to perform at the World Voice Festival in Rio. In July 2002, Djeli meets queen of the Blues, Janice DeRosa. They record together on the album ADUNA released in 2003. He also records with Paul Mindy the "Comptines et Berceuses du Baobab" (Baobab's nursery rhymes and lullabies). Djeli focuses next on creating a repertoire very popular with the parisian audience.

In 2010 he meets Vincent Lassalle who offers to produce Djeli's next album. Djeli then concentrates on a long and assiduous period of composition which produces the self named album "Djeli", fully recorded in Menilmontant, the parisian district closed to his heart. It is through a wide musical repertoire that Djeli thus launches a very personal project. Bass, percussions and machines' set, Manding flute and flute, all collaborate to create tribal and modern sonorities mixing pop music's nuances, Moorish vibes with a tinge of electro...

Après avoir collaboré entre autre avec Manu Dibango, Salif Keïta, Mory Kanté, Richard Bona, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tydiane Seck, et fort du succès de son précédent opus, et d’une tournée de plus de 100 concerts, Djeli sort son 2ème album le 06 avril 2015 !

Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Conde chante au travers de textes engagés, la paix et l’espoir qu’il a en l’humanité...

Né en Guinée-Conakry, issu d'une famille de griots, Djeli apprend très jeune l'art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l’Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d’Afrique de l’Ouest à Conakry. Déjà, il commence a exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite a l'aventure, durant plusieurs années, à travers l'Afrique de l'ouest. Gambie, Sénégal, Mali...

Sur Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l’ensemble Kotéba d’Abidjan avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. il compose notement quatre morceaux pour «Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d’Avignon en 1993. Djeli s’installe ensuite à Paris en 1993. Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et «Musiciens sans frontières » et finit par obtenir son titre de séjour.

"Djeli" va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keïta, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tydiane seck (Sarala), Sekouba Bambino (Le destin, Sinikan...), Mangala (réexpédition), Amy Koïta… Il contribue avec sa kora et sa voix puissante aux albums de chacun et les suivra sur leurs tournées françaises et internationales. Engagé, Il participe à de nombreux concerts de soutien aux grandes causes humanitaires (Secours Populaire, Unesco, Musiciens sans frontières…).

En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli Moussa fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l'album "ADUNA", qui sortira en juin 2003. Il enregistre également les «Comptines et berceuses du baobab» avec Paul Mindy.

"Djeli" se consacre alors à la composition d’un répertoire très vite apprécié par le public des scènes parisiennes. En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle qui lui propose de réaliser son album. S'en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naitre l'album éponyme « Djeli », entièrement enregistré à Ménilmontant, son quartier de prédilection et sorti en 2012.

Avec un répertoire large, des textes engagés, Djeli lance un projet hors normes, avec kora, guitare, basse, un set de percussions et machines, flûte malinké, dans un projet tribal et moderne a la fois, effleurant la pop, insérant une touche d'électro… Accueilli avec un vif succès, cet album sera suivi de plus de 100 concerts entre 2012 et 2014, partout dans le monde. Un nouvel album verra le jour en 2015, toujours realisé par Vincent lassalle, avec le label Buda records.